Amanda (vu le mardi 18 décembre 2018)
Après la déception du dimanche précédent, je renoue avec la série des films français gagnants avec un film que j’aurais d’ailleurs dû voir à la place de Pupille, si seulement la séance n’avait pas été complète... Malgré le côté simple et sobre du film (tant au niveau de l'histoire que de la manière de filmer), celui-ci fait son petit effet avec un événement perturbateur particulièrement inattendu et faisant écho à une actualité française pas si lointaine que cela. Malgré les complications survenues dans la vie des deux personnages, la transition vers une nouvelle vie se fait progressivement et aboutit à un renouveau et une reconstruction de la cellule familiale, sans verser dans le larmoyant.
Je trouve par ailleurs que Vincent Lacoste se bonifie avec le temps car je me souviens encore d’un des rares films, dont il était le principal protagoniste, durant lequel j’avais quitté la salle (JC comme Jésus Christ), son nom n'est donc pas toujours synonyme de chef d'oeuvre pour moi. Mais il a depuis fait du chemin (Plaire, Aimer et courir vite) et son binôme de film d’à peine 12 ans se montre déjà à la hauteur pour assurer la relève.
Après la déception du dimanche précédent, je renoue avec la série des films français gagnants avec un film que j’aurais d’ailleurs dû voir à la place de Pupille, si seulement la séance n’avait pas été complète... Malgré le côté simple et sobre du film (tant au niveau de l'histoire que de la manière de filmer), celui-ci fait son petit effet avec un événement perturbateur particulièrement inattendu et faisant écho à une actualité française pas si lointaine que cela. Malgré les complications survenues dans la vie des deux personnages, la transition vers une nouvelle vie se fait progressivement et aboutit à un renouveau et une reconstruction de la cellule familiale, sans verser dans le larmoyant.
Je trouve par ailleurs que Vincent Lacoste se bonifie avec le temps car je me souviens encore d’un des rares films, dont il était le principal protagoniste, durant lequel j’avais quitté la salle (JC comme Jésus Christ), son nom n'est donc pas toujours synonyme de chef d'oeuvre pour moi. Mais il a depuis fait du chemin (Plaire, Aimer et courir vite) et son binôme de film d’à peine 12 ans se montre déjà à la hauteur pour assurer la relève.
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