dimanche 24 février 2019

CinémAlex - Le retour de Mary Poppins

Le retour de Mary Poppins (vu le mercredi 02 janvier 2019)

J’adore Mary Poppins, son univers et surtout ses chansons emblématiques, mais je dois dire que Je n’attendais pas vraiment le retour de Mary Poppins, 50 ans après ses premières facéties. Ça n’est pas vraiment que la barre était placée haut et ça n’est pas une question d’être réfractaire au foisonnement des nouvelles versions de grands classiques mais je n’ai pas saisi l’intérêt d'un film que je n’ai pas trouvé très captivant. L’effort reste tout de même louable de ne pas avoir fait un simple copié-collé comme les récents live-action de Disney, mais le film aura à mon avis du mal à trouver sa place parmi les films cultes de Disney.


Pendant la projection, j’ai été pas mal agacé par une personne derrière moi qui râlait dès que ça chantait et je me disais qu’il fallait être bête pour ne pas aimer les comédies musicales et aller voir Mary Poppins mais en y repensant, les chansons étaient effectivement assez omniprésentes, souvent sans trop d'effort de transition. Et le pire dans tout cela, c'est que la bande-son m'a semblé quand même peu marquante voire parfois soporifique, on est très loin de The Greatest Showman qui n'en finit pas de battre des recors depuis un peu plus d'un an en Angleterre !

jeudi 21 février 2019

CinémAlex - Aquaman

Aquaman (vu le dimanche 30 décembre 2018)

Introduit dans le cadre du film sur la Justice League, Aquaman a droit à son prequel rien que pour lui et ils n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère. On découvre ainsi un univers très complet et visuellement dense, qui, pour cause de manque de sobriété et de surenchère, frôle parfois les effets en carton pâte. Cela aurait par ailleurs été intéressant de créer un peu d'attente par rapport aux différentes civilisations de l’Atlantide et de s’attarder un peu plus sur elles lors de prochains films.

Le gros what de fuck du film restera le casting de Nicole Kidman qui n’en finit pas de rajeunir et qui ne vieillit pas vraiment dans le film alors qu’il doit bien s’écouler pas loin de 30 ans entre le moment où on la découvre et où on la revoit. Mais sur le fond, j’ai quand même bien apprécié la globalité de l’histoire, empreinte de mystères et de quêtes en tout genre et qui ne manque pas d'action évidemment.

lundi 11 février 2019

CinémAlex - L'empereur de Paris

L’empereur de Paris (vu le mercredi 19 décembre 2018)
Le cycle de films français se clôt juste avant Noël et il se passera un mois avant que je n’aille en voir un autre et je dois dire que je finis en beauté avec une bonne surprise assez inattendue ! Je n’avais en effet pas planifié de voir ce film qui m’inspirait peu, par rapport au thème et l’acteur principal, Vincent Cassel. Mais je dois reconnaître que le personnage de Vidocq lui va à ravir et l'histoire, assez captivante, est accompagnée d'une ambiance d'époque particulièrement réussie.

Le film, au delà de son aspect historique, est empreint d’un humour parfois insolent, il y a aussi ce qu’il faut d’action mais aussi une touche d’émotion. Et la mention spéciale revient au personnage de la baronne, incarnée par Olga Kurylenko, qui ne peut que nous faire penser à nos fameuses influençeuses actuelles, aussi futiles que superficiellement importantes.

dimanche 10 février 2019

CinémAlex - Amanda

Amanda (vu le mardi 18 décembre 2018)

Après la déception du dimanche précédent, je renoue avec la série des films français gagnants avec un film que j’aurais d’ailleurs dû voir à la place de Pupille, si seulement la séance n’avait pas été complète... Malgré le côté simple et sobre du film (tant au niveau de l'histoire que de la manière de filmer), celui-ci fait son petit effet avec un événement perturbateur particulièrement inattendu et faisant écho à une actualité française pas si lointaine que cela. Malgré les complications survenues dans la vie des deux personnages, la transition vers une nouvelle vie se fait progressivement et aboutit à un renouveau et une reconstruction de la cellule familiale, sans verser dans le larmoyant.


Je trouve par ailleurs que Vincent Lacoste se bonifie avec le temps car je me souviens encore d’un des rares films, dont il était le principal protagoniste, durant lequel j’avais quitté la salle (JC comme Jésus Christ), son nom n'est donc pas toujours synonyme de chef d'oeuvre pour moi. Mais il a depuis fait du chemin (Plaire, Aimer et courir vite) et son binôme de film d’à peine 12 ans se montre déjà à la hauteur pour assurer la relève.