Sauver ou périr (vu le vendredi 30 novembre 2018)
Le mois de décembre a été marqué par une salve de films français divers et variés mais tous plutôt bons dans l’ensemble et Sauver ou périr ouvre le bal avec un Pierre Niney toujours aussi bon. Le thème des pompiers se prête bien à un film spectaculaire, pas tant pour l’incident ayant mis en péril la vie du personnage principal, que pour sa convalescence très longue et éprouvante.
Le mois de décembre a été marqué par une salve de films français divers et variés mais tous plutôt bons dans l’ensemble et Sauver ou périr ouvre le bal avec un Pierre Niney toujours aussi bon. Le thème des pompiers se prête bien à un film spectaculaire, pas tant pour l’incident ayant mis en péril la vie du personnage principal, que pour sa convalescence très longue et éprouvante.
Le film ne cède pas non plus à un voyeurisme malsain puisqu’on ne voit le visage profondément meurtri qu’une fois la guérison déjà avancée et cela est toujours fait avec une certaine pudeur. Le cheminement du héros est bien retranscrit, aussi bien au niveau personnel qu’au niveau familial dans sa relation à son entourage. Je n’irai pas jusqu’à placer Pierre Niney comme favori aux Césars cette année mais il est toujours très juste dans son interprétation et c’est toujours un plaisir de le retrouver sur le grand écran.
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